Au bout du chemin, la nuit va tomber. En quelques touches légères de sa palette impressionniste, le crépuscule a redessiné les contours de la ville. Illuminé de rose l’ocre des maisons, adouci le sol de reflets tourterelle, délavé le ciel d’une transparence pastel, ultime cadeau du jour avant que tout s’obscurcisse. L’homme est seul et sa route s’achève, Il est temps de rentrer.
Boukhara/Uzbekistan/2009